Au jardin, la camomille, c'est ma tasse de thé!
Pendant mon absence, la vague blanche a tout envahi. Juste avant mon arrivée, un gros orage avait couché les plantes et éclaté les graminées. C'était le crépuscule, le blanc de la camomille éclairait encore... des retrouvailles joyeuses!
Au matin, le jardin était encore trempé, mais déjà la petit marguerite lui donnait son air pimpant!
Je n'aime pas le goût de la camomille, en ayant bu des litres pour cause de migraines, mais je laisse la fleur aller et venir dans les massifs, la coupant pour en faire des bouquets lorsqu'elle gêne une plante plus faible, ou la déplaçant au printemps ou à l'automne... Son odeur ne me gêne point, même si elle n'est pas des plus subtiles!
La mauve blanche est aussi une vagabonde- Je contrôle pourtant un peu plus sévèrement sa vigueur et sa hauteur... Voilà ces deux blancs qui s'associent parfaitement, à mon goût.
Le jeune Calicarpa n'est pas gêné de cette belle compagnie et ses fleurs un peu pâlotte sont rehaussées par le blanc bénéfique...
La plante attire aussi les insectes à profusion, et j'aime l'associer aux rosiers... Les pucerons se focalisent sur ses tiges et en oublient les boutons des fleurs plus précieuses. Il n'y a ensuite plus qu'à tailler la camomille et la jeter. Elle refleurira à la fin de l'été, en même temps que la deuxième vague des roses. C'est une association gagnante à tous les coups!
Elle joue le même rôle de pôle à pucerons près des raisinets, et j'ai aimé cette scène au soleil couchant...
Ici c'est une mouche - peut-être une volucelle - une parmi tant d'autres, qui la trouve à son goût. Les abeilles, les syrphes de toutes tailles, les guêpes - aucun butineur semble pouvoir lui résister. Et j'ai déjà songé que j'en garnirai tout le tour de l'hôtel à insectes encore en gestation et que je terminerai avant l'automne!
La couleur ne nuit pas à la camomille! Elle joue à merveille le rôle de liaison entre les différentes teintes du jardin plus sauvage, où les annuelles se ressèment comme bon leur semble.
Vous l'avez compris, je suis une inconditionnelle! Et vous, aimez-vous l'avoir au jardin ou la traquez-vous comme une mauvaise herbe?
Pendant mon absence, la vague blanche a tout envahi. Juste avant mon arrivée, un gros orage avait couché les plantes et éclaté les graminées. C'était le crépuscule, le blanc de la camomille éclairait encore... des retrouvailles joyeuses!
Au matin, le jardin était encore trempé, mais déjà la petit marguerite lui donnait son air pimpant!
Je n'aime pas le goût de la camomille, en ayant bu des litres pour cause de migraines, mais je laisse la fleur aller et venir dans les massifs, la coupant pour en faire des bouquets lorsqu'elle gêne une plante plus faible, ou la déplaçant au printemps ou à l'automne... Son odeur ne me gêne point, même si elle n'est pas des plus subtiles!
La mauve blanche est aussi une vagabonde- Je contrôle pourtant un peu plus sévèrement sa vigueur et sa hauteur... Voilà ces deux blancs qui s'associent parfaitement, à mon goût.
Le jeune Calicarpa n'est pas gêné de cette belle compagnie et ses fleurs un peu pâlotte sont rehaussées par le blanc bénéfique...
La plante attire aussi les insectes à profusion, et j'aime l'associer aux rosiers... Les pucerons se focalisent sur ses tiges et en oublient les boutons des fleurs plus précieuses. Il n'y a ensuite plus qu'à tailler la camomille et la jeter. Elle refleurira à la fin de l'été, en même temps que la deuxième vague des roses. C'est une association gagnante à tous les coups!
Ici c'est une mouche - peut-être une volucelle - une parmi tant d'autres, qui la trouve à son goût. Les abeilles, les syrphes de toutes tailles, les guêpes - aucun butineur semble pouvoir lui résister. Et j'ai déjà songé que j'en garnirai tout le tour de l'hôtel à insectes encore en gestation et que je terminerai avant l'automne!
La couleur ne nuit pas à la camomille! Elle joue à merveille le rôle de liaison entre les différentes teintes du jardin plus sauvage, où les annuelles se ressèment comme bon leur semble.
Vous l'avez compris, je suis une inconditionnelle! Et vous, aimez-vous l'avoir au jardin ou la traquez-vous comme une mauvaise herbe?
Ah tu as bien raison de mettre cette plante à l'honneur !
RépondreSupprimerElle manque dans mon jardin, mais trouver des graines est très simple, alors dès l'année prochaine, elle envahira mes massifs :)
J'en suis déjà content un an à l'avance
Bon week-end
maintenant j'en ai dans tous mes massifs, et je l'aime beaucoup. De plus dans les bouquet elle est précieuse! En la taillant après la floraison elle refleurit jusqu'à l'automne! par contre je n'ai pas la même variété que toi, les capitules sont toutes blanches! si par hasard tu en veux des graines?
RépondreSupprimerJ'adore les tisanes de camomille, avec un peu de miel de lavande, elle m'aide à m'endormir !
RépondreSupprimerAlors quel bonheur si j'en avais dans mon jardin !
Bisous de beau week-end
Marie-Ange
Adorable camomille! un pied est venu se semer chez moi sans demander la permission, et sa présence est éclatante mêlée à un lonicera fragrantissima. Comme toi, je craque sur les effets se contre-jour dans les feuillages.
RépondreSupprimerMagnifique ces photos de camomille !!!!
RépondreSupprimerRavie de te retrouver Gine après ton escapade.
RépondreSupprimerDes graines sont venues, comment je ne sais pas. En tout cas elle a complétement colonisé la prairie de derrière qui est encore en friche because travaux. Je les trouve charmantes toutes ses petites fleurettes et j'aime la camomille, elle m'a permis, par des infusions dans les bains des enfants les calmer lors de soirées trop énervantes ou lors d'accès de fièvre.
Une charmante plante que je laisse bien entendu vivre sa vie au jardin, sauf que je vais en cueillir un certain nombre pour ma tisane de cet hiver.
Bises
J'aime beaucoup son côté sauvage qui apporte naturel et spontanéité au jardin! Elle crée de magnifiques associations! J'avais semé le tanacetum partenium simple près du rosier jaune 'Graham Thomas' et je ne me lasse pas de ce mariage! Mais la touffe s'est effondrée, toute écartelée... Je n'ai pas pu me résoudre à tailler tout, ce qui m'aurait privé de ses fleurs. Alors j''en ai seulement coupé la moitié. Quand elle refleurira, je couperai le reste qui sera fané... :)
RépondreSupprimerTa scène au soleil couchant est merveilleuse!
La camomille au cœur gros comme ça !
RépondreSupprimerJ'en rêve !!! Je la veux !!!... j'ai démarré le jardin, il y a 1 mois... j'aimerai qu'elle envahisse les allées, certains massifs, qu'elle accompagne aussi joliment les rosiers....... Dans quelques années peut-être ??? Vous êtes une source d'inspiration. Merci. Bon dimanche,
RépondreSupprimerDis donc, je ne connaissais pas le pouvoir de multiplication de la camomille : je vais essayer de m'en procurer sans tarder. J'aime beaucoup son côté naturel et j'aime surtout ce que tu en as fait dans ton jardin ! Les vacances continuent au jardin hein ? :)
RépondreSupprimerA bientôt Gine !
J'en use et j'ai bien l'attention d'en abuser! J'en ai semé cet hiver (de l'aureum) et il fleurira l'an prochain j'ai l'impression: des dizaines de pieds (qui viendront se rajouter à ceux existant) qui devraient m'apporter un grand bonheur!
RépondreSupprimerBisous
j'en voudrais tant dans mon jardin
RépondreSupprimerune fleur si romantique , je vois sur le message de Sophie qu'il faut la semer cet hiver
je ne vais pas y manquer c'est si beau
en plus en infusion c'est très bon pour le teint et les yeux
si vous avez des petits boutons c'est idéal pour les enlevés
tendresse
edith (iris)
Il faut que je comble ce manque de camomille au jardin c'est tellement beau .
RépondreSupprimerMais apparemment elles aiment le terrain frais alors vais-je leur trouver un endroit ?
L'association de la camomille et des mauves blanches est superbe .
Bises
Tu m'as conquise avec cette article, l'an prochain il y aura de la camomille chez moi, j'adore la fleur, elle ressort dans le parterre et s'associe parfaitement aux autres plantes.
RépondreSupprimerDe belles photos, bonne semaine à bientôt, Caroline
Je retrouve avec bonheur ce jardin qui est comme je les aime et je me plonge dans ses photos pour remplacer mon jardin perdu. J'ai découvert aussi qu'il se trouve près des Alpes fribourgeoises? Je suis originaire des Alpes vaudoise côté maternel et Jura vaudois côté paternel, ma soeur habite Lausanne, moi Colmar en Alsace et je vais souvent au bord du Léman, alors peut-être qu'un jour j'aurai le plaisir de voir le beau jardin de Gine en vrai? Amitiés, Martine
RépondreSupprimerTout comme toi, j'aime la camomille, elle éclaircit le jardin (et les cheveux...). J'ai trouvé la mienne dans un vide grenier, une dame qui vend ses plantes qu'elle divise. Elle a l'air de s'y plaire dans mon jardin, elle est au pied de Graham Thomas (tout comme Malorie, je viens de voir) et d'une pivoine rouge. La mienne est double, en petit pompons. J'espère qu'elle se ressèmera bien, car dit-on les fleurs doubles sont moins fertiles.
RépondreSupprimerJ'en avais planté l'année dernière dans le jardin de devant (tout caillouteux), un petit pied de chez mes parents, mais j'ai du l'arracher au printemps par mégarde car elle n'est pas revenue.
Ce sont dernières fleurs que je vois de ma fenêtre quand la nuit tombe.
Bonne soirée,
Christophe
S'il y a bien une plante que l'on apprécie de plus en plus, c'est la camomille et l'association que vous faites avec la malva est particulièrement réussie. On va y penser pour l'année prochaine.
RépondreSupprimerJe l'ai partout ....sa compagnie est parfaite surtout pour sa couleur ,son odeur,je la laisse faire
RépondreSupprimerC'est une plante que je trouve indispensable dans un jardin, chez moi comme chez toi, elle s'installe et je la laisse gambader où bon lui semble et en général les associations sont très réussies. Elle s'accomode facilement et accepte les autres sans rechigner, c'est une belle douce.
RépondreSupprimerJe ne la savais pas si jolie...
RépondreSupprimerBonne fin de semaine.