La tulipe était la fleur préférée du Sultan Soliman le Magnifique (1494-1566), et en cette période de l'année, elle n'a pas son pareil au jardin! Je vous montre dans ce premier article, les stars!
Pour commencer une belle fidèle, dont je vous faisais l'éloge en 2011 (que vous pouvez lire ici), la tulipe perroquet Bastogne, grosse tête toujours, couleur flamboyante, pétales joliment froissés, sur une tige un peu grêle toutefois cette année... Combien de temps son bulbe va-t-il vivre encore ?
Une autre tulipe perroquet lui vole la vedette, c'est la Tulipe Irène Perroquet, complètement gigantesque et trapue - presque criarde - pour la première fois chez moi. Je ne vous cache pas que j'espère qu'elle s'affaiblisse un peu et devienne un peu moins voyante pour le printemps prochain!
Mais son pétale a su garder les magnifiques flambés de Princesse Irène, et je ne me lasse pas d'admirer ce travail d'orfèvre.
Enfin, une autre championne, depuis trois ans au jardin, c'est la tulipe Akebono, plus douce, mais tout aussi compliquée...
J'admire son liseré rouge, son côté viridiflora avec ses tons de vert, sa coupe généreuse qui grossit et pâlit de jour en jour...
Et en hommage au Sultan, cette tulipe sombre qui refleurit elle aussi après plusieurs années, en beaucoup plus simple, en beaucoup plus petit, mais dans la perfection, la tulipe Arabian Mystery...
Des contrastes forts et heureusement, ces belles sont éloignées les unes des autres... elles ne se font pas concurrence!
Je vous parlerai encore des tulipes, des plus modestes, mais qui ont aussi ma faveur!
Pour commencer une belle fidèle, dont je vous faisais l'éloge en 2011 (que vous pouvez lire ici), la tulipe perroquet Bastogne, grosse tête toujours, couleur flamboyante, pétales joliment froissés, sur une tige un peu grêle toutefois cette année... Combien de temps son bulbe va-t-il vivre encore ?
Une autre tulipe perroquet lui vole la vedette, c'est la Tulipe Irène Perroquet, complètement gigantesque et trapue - presque criarde - pour la première fois chez moi. Je ne vous cache pas que j'espère qu'elle s'affaiblisse un peu et devienne un peu moins voyante pour le printemps prochain!
Mais son pétale a su garder les magnifiques flambés de Princesse Irène, et je ne me lasse pas d'admirer ce travail d'orfèvre.
Enfin, une autre championne, depuis trois ans au jardin, c'est la tulipe Akebono, plus douce, mais tout aussi compliquée...
J'admire son liseré rouge, son côté viridiflora avec ses tons de vert, sa coupe généreuse qui grossit et pâlit de jour en jour...
Et en hommage au Sultan, cette tulipe sombre qui refleurit elle aussi après plusieurs années, en beaucoup plus simple, en beaucoup plus petit, mais dans la perfection, la tulipe Arabian Mystery...
Des contrastes forts et heureusement, ces belles sont éloignées les unes des autres... elles ne se font pas concurrence!
Je vous parlerai encore des tulipes, des plus modestes, mais qui ont aussi ma faveur!