A pas de loup, l'automne fait son apparition dans le jardin, bien tardivement, mais inéluctablement ...
Le chêne me le dit, ce matin, en agitant faiblement ses premières mèches rousses.
Les asters et le fusain sont de la partie pour me le rappeler ...
Je n'ai pas encore fini de couper les fleurs fanées depuis mon retour de vacances. Au nord de la maison, les dahlias fleurissent au milieu des chignons bruns gluants de leurs prédécesseurs. Ce soir, dans la lumière bleue, ce sera un joli travail que de les nettoyer et de chasser les perce-oreilles qui commencent à les dévorer !
Les anémones du Japon apportent la note de fraîcheur dans les premiers rayons du soleil. Vais-je les attacher ou leur laisser leur air sauvage, quitte à en perdre quelques unes, étouffées par leurs soeurs ? Le dilemme est là, chaque année.
La Clématite Alpina n'a pas dit son dernier mot et me fait signe dans la pénombre des cornouillers.
Côté soleil, le Solanum s'est enfin réveillé de sa longue punition hivernale où je le tiens au sec et hors gel. Chaque année, je décide de le sacrifier, mais comme il est si beau au moment des premiers froids, je le garde, en pestant contre son poids et contre la mouche blanche ou la cochenille laineuse qui l'attaquent inévitablement.
C'est la saison de la capucine qui déborde par dessus les murets, prend la clef des champs ... je n'oublie jamais de la semer en pensant à l'automne.
Planté à l'ombre des Rudbeckias Marmelade parce qu'il commençait à sécher dans sa potée hivernale, le Coreopsis refleurit de pus belle créant une tâche d'ombre vibrante sous leurs têtes orangées...
Soucis, Pavots de Californie et Rudbecka Marmelade font le spectacle à peu de frais dans le massif sud ... C'est comme l'été qui se prolonge dans les couleurs avivées par les nuits plus fraîches !
Beau retour de vacances pour la jardinière !
Le chêne me le dit, ce matin, en agitant faiblement ses premières mèches rousses.
Les asters et le fusain sont de la partie pour me le rappeler ...
Je n'ai pas encore fini de couper les fleurs fanées depuis mon retour de vacances. Au nord de la maison, les dahlias fleurissent au milieu des chignons bruns gluants de leurs prédécesseurs. Ce soir, dans la lumière bleue, ce sera un joli travail que de les nettoyer et de chasser les perce-oreilles qui commencent à les dévorer !
Les anémones du Japon apportent la note de fraîcheur dans les premiers rayons du soleil. Vais-je les attacher ou leur laisser leur air sauvage, quitte à en perdre quelques unes, étouffées par leurs soeurs ? Le dilemme est là, chaque année.
La Clématite Alpina n'a pas dit son dernier mot et me fait signe dans la pénombre des cornouillers.
Côté soleil, le Solanum s'est enfin réveillé de sa longue punition hivernale où je le tiens au sec et hors gel. Chaque année, je décide de le sacrifier, mais comme il est si beau au moment des premiers froids, je le garde, en pestant contre son poids et contre la mouche blanche ou la cochenille laineuse qui l'attaquent inévitablement.
C'est la saison de la capucine qui déborde par dessus les murets, prend la clef des champs ... je n'oublie jamais de la semer en pensant à l'automne.
Planté à l'ombre des Rudbeckias Marmelade parce qu'il commençait à sécher dans sa potée hivernale, le Coreopsis refleurit de pus belle créant une tâche d'ombre vibrante sous leurs têtes orangées...
Soucis, Pavots de Californie et Rudbecka Marmelade font le spectacle à peu de frais dans le massif sud ... C'est comme l'été qui se prolonge dans les couleurs avivées par les nuits plus fraîches !
Beau retour de vacances pour la jardinière !