Le jardin vient d'essuyer deux jours de pluies continues... il en est tout dégoulinant encore et mon projet de cueillette des semences de pavots doit être remis à des jours plus secs!
En attendant, je nettoie, je redresse, je déplace : profitons du temps humide pour restructurer, les vivaces ont ainsi bien le temps de s'installer avant les froids d'octobre. Ainsi les plantes roses égarées dans mon massif blanc-jaune : digitales, lychnis, julienne des dames, qui ont fini de fleurir vont retrouver le jardin sud où toutes les couleurs, même quelques touches de jaune, sont bienvenues.
Quelques roses isolées attendent la remontée des clématites qui n'ont pas l'air pressées... les potées ont triste mine, mais le bougainvillée semble se satisfaire des températures basses et de l'humidité ambiante (j'en perds mon latin!). Quant au parasol, il n'est ouvert que pour sécher: il n'y a pas à se protéger du soleil, chaque rayon est bienvenu!
Il y a de la bonne volonté un peu partout dans les massifs, mais c'est assez épars... Avant hier pourtant, le massif sud avait fière allure... Aujourd'hui, les pavots sont défleuris les roses aussi, seuls subsistent les Crocosmia Lucifer.
Les hémérocalles ont quelques heures de gloire par jour...
Je suis très contente de l'association du petit Liseron de Mauritanie qui a passé l'hiver dans la Maison des plantes et de l'orange de cet autre hémérocalle à l'arrière.
J'ai commencé à tailler les pois de senteur vivaces pour dégager les fleurs qui essaient de se frayer un chemin à travers le lacis de leurs lianes si vigoureuses... Je vais essayer d'en déterrer certains (gros travail), car malgré leur couleur si plaisante, je les trouve trop envahissants. Difficiles à semer, ils aiment bien vagabonder dans le jardin et se resemer tout seul, comme des grands. Une fois installés, ils reviennent année après année, toujours plus volumineux.
Vous l'avez compris, le travail, en ce temps de vacances, ne manque pas. Entre les amis, les invitations, l'envie de balades, le climat, le jardin a parfois de la peine à faire valoir ses droits à des soins réguliers! Il tient plus de la jungle que du jardin soigné dont je rêve parfois!
En attendant, je nettoie, je redresse, je déplace : profitons du temps humide pour restructurer, les vivaces ont ainsi bien le temps de s'installer avant les froids d'octobre. Ainsi les plantes roses égarées dans mon massif blanc-jaune : digitales, lychnis, julienne des dames, qui ont fini de fleurir vont retrouver le jardin sud où toutes les couleurs, même quelques touches de jaune, sont bienvenues.
Quelques roses isolées attendent la remontée des clématites qui n'ont pas l'air pressées... les potées ont triste mine, mais le bougainvillée semble se satisfaire des températures basses et de l'humidité ambiante (j'en perds mon latin!). Quant au parasol, il n'est ouvert que pour sécher: il n'y a pas à se protéger du soleil, chaque rayon est bienvenu!
Il y a de la bonne volonté un peu partout dans les massifs, mais c'est assez épars... Avant hier pourtant, le massif sud avait fière allure... Aujourd'hui, les pavots sont défleuris les roses aussi, seuls subsistent les Crocosmia Lucifer.
Les hémérocalles ont quelques heures de gloire par jour...
Je suis très contente de l'association du petit Liseron de Mauritanie qui a passé l'hiver dans la Maison des plantes et de l'orange de cet autre hémérocalle à l'arrière.
J'ai commencé à tailler les pois de senteur vivaces pour dégager les fleurs qui essaient de se frayer un chemin à travers le lacis de leurs lianes si vigoureuses... Je vais essayer d'en déterrer certains (gros travail), car malgré leur couleur si plaisante, je les trouve trop envahissants. Difficiles à semer, ils aiment bien vagabonder dans le jardin et se resemer tout seul, comme des grands. Une fois installés, ils reviennent année après année, toujours plus volumineux.
Vous l'avez compris, le travail, en ce temps de vacances, ne manque pas. Entre les amis, les invitations, l'envie de balades, le climat, le jardin a parfois de la peine à faire valoir ses droits à des soins réguliers! Il tient plus de la jungle que du jardin soigné dont je rêve parfois!