jeudi 4 juillet 2024

Pour en finir avec les rosiers...

... ou plus exactement, avec les articles sur les rosiers! J'ai pu prendre des photos de cascades de rosiers, car ils ont été prolifères comme jamais. La rose est belle en tant que fleur unique, mais c'est vrai que le jardin trouve sa noblesse lors de la floraison des rosiers.

Dans la cour, vu depuis l'étage,  Westerland, Ghislaine de Féligonde, Opalia et Léontine Gervais...


Au sud, et vu depuis l'étage aussi, La Fraîcheur


Plus au sud, Jasmina, plus tardif, ici avant les pluies quotidiennes depuis deux semaines qui ont rapidement fané ses boutons. Je vais le tailler pour espérer une remontée aussi abondante, sous le soleil!


Emera se défend des attaques du géranium vivace  et j'aime beaucoup cette scène, au tout début de sa floraison.


A sa gauche, le gracieux Fairy, plus récemment planté, prend déjà des allures  de buisson.


Et son hybride, le Crystal Fairy illumine l'ombre sous le Cotinus...


Beaucoup de satisfaction, cette année si favorable aux rosiers!


dimanche 30 juin 2024

Les roses tardives, en vrac !

Après que j'aie commencé cette série d'articles sur mes rosiers - je n'avais jamais pensé que j'en avais autant! - certains rosiers ont fleuri, entre pluies, vents, orages et parfois, un peu de soleil! Des vaillants...

La belle des belles, très flamboyante, alors que parfois elle se montre plus pâle, Westerland - générosité, couleur et parfum !

Westerland, Kordès 1969

De l'autre côté du passage, c'est Calizia qui fait écho à sa couleur. Bien plus petit, pas de parfum, c'est un rosier décor qui  remplit bien son rôle : toujours gracieux!

Calizia, Noack 2005

Plein sud, c'est le rosier Emera - également un rosier décor sans parfum qui met de la vivacité en bordure de la place de parc.

Emera, Noack 1989

Un "vieux" rosier, que j'ai déplacé deux fois dans le jardin, mais qui a trouvé sa place, c'est A Shrophire Lad, grimpant toujours plaisant avec ses roses bien remplies.

A Shropshire Lad, D. Austin 1996

Pour lui donner la réplique sur un support de même hauteur, le beau Polka, qui passe de l'orange vif en bouton, en rose orangé la fleur éclose.

Polka, Meilland 1991

Dans un autre ordre grandeur, et aussi de satisfaction, le malingre Belle des Fagnes qui ne se plaît pas chez moi. Pourtant. il pourrait être séduisant s'il voulait bien être plus généreux.

Belle des Fagnes, D. Schmitz 2004

Et encore Albertine, arrivée en pleine période de pluie, et qui pourtant - enfin! - a été bien fleurie! Tellement même que je dois revoir son support. J'aurais bien voulu qu'elle cavale sur les buissons, mais elle préfère se tourner vers l'ouest... et ainsi s'échapper de ses béquilles!

Albertine, Barbier 1921

Je ne pensais pas - je vous l'ai dit - en avoir autant - une bonne cinquantaine dans mon petit jardin.   Pourtant ce n'est pas faute de les avoir listés !!! 

J'essaierai de vous montrer encore quelques photos d'ensemble, parce que grâce à l'hiver doux, j'ai enfin eu des cascades de roses - de celles qui me faisaient rêver quand j'admirais les jardins situés au sud de la Loire. 


mercredi 26 juin 2024

Blancs de blanc

Les rosiers blancs! Longtemps absents du jardin, ils y ont fait leur place au fil des années... et je ne m'en lasse pas! 

Opalia, dont j'aime la fleur ronde, qui se mêle si bien à Ghislaine de Féligonde, puisque je l'ai choisi grimpant.

Opalia, Noack 1991

Puis, le gracieux Guirlande d'Amour, offert par ma Maman, il y a quelques années.

Guirlande d'Amour, Lens 1993

Le rosier Snow Princess fait ses débuts au jardin. Après la plantation, il a perdu toutes ses feuilles et m'a fait une seule fleur... Depuis, il se remplume et j'espère en avoir une deuxième floraison plus riche!

Snow Princess, Keith G. Laver, 1991

Enfin, la bête à chagrin du jardin! Schneewittchen (Fée des Neiges) a été planté en 2013, vendu pour grimpant. Il a végété, je l'ai mis en pot où il mis meilleure allure, en 2019. En 2022, contente de sa forme, je l'ai mis en terre, en ayant compris qu'il ne grimperait jamais. Cette année, enfin, il m'a fait une jolie floraison et semble vouloir remonter. Un obstiné, mais je le suis aussi!

Schneewittchen (Fée des Neige), Kordès 1958

Et je vais finir par la plantation du jour, pour lequel j'ai complètement craqué : une rose thé, bien remplie, d'un blanc porcelaine et bien parfumée.

Annapurna, Dorieux 2000

Je citerai encore Carte Blanche, Swanny, Crystal Fairy, New Dawn, et le Rosier spinosissima planté en haie par les promoteurs. J'ai gardé quelques plants de ce dernier, puisqu'il fleurit très tôt et sent si bon. Hélas, il ne supporte pas du tout les pluies froides du printemps et son éclat est de courte durée.

Il reste encore quelques rosiers jaune, orange, roses, abricots - de ceux qui ont fleuri plus tardivement! Je ne m'étais jamais rendu compte que j'en avais tant que ça!