Les roses ont grillé sous le soleil, un peu prématurément. The Fairy, plus tardif, était encore bien rose la semaine passée et j'ai bien aimé son compagnonnage avec l'oeillet barbu ... L'oeillet est fané, le rosier a blanchi et attend que je le taille pour une remontée tout aussi généreuse.
Ce sont les fleurs de l'été qui assurent maintenant l'animation et la couleur! Ce rudbeckia acheté en boutons et planté dans un pot vivifie un coin défleuri. Je le planterai au jardin début octobre au plus tard, qu'il puisse s'y enraciner avant le froid.
Plus délicat et plus discret puisqu'elle fleurit avant que le soleil ne l'atteigne, la chicorée apporte une note bleu qui manque au jardin, les limaces ayant décimé les delphiniums ....
Pendant des années, j'ai récolté dans la nature des graines, j'ai même prélevé une plante dans un talus, mais jamais je n'ai réussi à faire pousser cette merveille. En 2024, je suis tombée en arrêt dans le marché d'une école d'horticulture devant une plante qui ressemblait à un pissenlit, avec un petit côté froissé, et dont l'étiquette indiquait : "chicorée sauvage". Elle a végété en bordure des pavés, et j'ai dû batailler pour que personne ne l'arrache sous prétexte de "mauvaise herbe". Puis au printemps, elle a commencé à grandir, à prendre de l'importance et la voilà qui culmine à 180 cm!
Les lychnis en rose ou en blanc égaient aussi les massifs, je les laisse s'installer comme bon leur semble, prenant soin de préserver les plantules de ces bisanuelles,
Enfin, les clématites qui avaient très mal supporté les canicules passées semblent vouloir survivre dans l'ombre des arbres,
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