En voyage à Singapour, j'en ai profité pour visiter des forêts, des lacs, et des jardins... Je me suis gavée de flore exotique opulente et envahissante et j'ai admiré les grands arbres qui poussent jusque dans le béton de la ville.
Pendant ce temps, mon jardin suisse subissait grêles et neiges... Je n'y pensais même pas, bien trop occupée à admirer et à cataloguer les belles étrangères.
Pourtant, au retour, sous le soleil et la tiédeur retrouvés, le printemps était au rendez-vous, le jardin était tout pimpant! A mon tour enfin, au risque de vous lasser, de vous présenter mes Hellébores orientalis qui envahissent les massifs jusque chez les voisins...
Toutes issues de la même plante reçue il y a 20 ans, elles ont pourtant des roses différents, du plus pâle au plus pourpre, selon leur caprice...
Les nouvelles anémones pulsatiles me ravissent tous les matins. C'est la fleur de mon enfance, puisque les collines sèches de la région où mes parents résidaient en étaient couvertes. Ce sont elles qui m'ont appris que les fleurs éveillaient aussi le nez et le toucher, à part les yeux. Elles ne pouvaient que figurer dans mon jardin, alors même qu'elles ne s'y plaisent pas tant que ça et que je dois les renouveler régulièrement.
Le Corylopsis pauciflora a bien supporté son déménagement et sa nouvelle situation en hauteur sur le mur de la cour me permet de mieux admirer sa délicate et pâle floraison. Un jaune bien délicat en ces temps de jonquilles pétantes!
Et les voici, ces joyeuses cloches de Pâques, dans une potée devant l'Heuchère Purple Wine qui a égayé l'entrée de la maison tout l'hiver.
Leurs congénères commencent à s'ouvrir ici et là dans le jardin et je pourrai bientôt vous les montrer dans toute leur diversité.
Pour parfaire cet accueil, le jardin a peaufiné cette hybridation hasardeuse d'une primevère de jardinerie et de la primevère officinale, qui fleurit chaque année et semble de resemer puisque cette année, j'en ai trois belles plantes!
J'ai repris les travaux de désherbage, de taille des rosiers, de gratouillage, d'engraissement, et je passe plus de temps dans les fleurs que sur les blogs! Heureusement que le jour a des heures plus chaudes qui m'imposent la pause...
Jurong Bird Park, Singapour |
Pourtant, au retour, sous le soleil et la tiédeur retrouvés, le printemps était au rendez-vous, le jardin était tout pimpant! A mon tour enfin, au risque de vous lasser, de vous présenter mes Hellébores orientalis qui envahissent les massifs jusque chez les voisins...
Toutes issues de la même plante reçue il y a 20 ans, elles ont pourtant des roses différents, du plus pâle au plus pourpre, selon leur caprice...
Les nouvelles anémones pulsatiles me ravissent tous les matins. C'est la fleur de mon enfance, puisque les collines sèches de la région où mes parents résidaient en étaient couvertes. Ce sont elles qui m'ont appris que les fleurs éveillaient aussi le nez et le toucher, à part les yeux. Elles ne pouvaient que figurer dans mon jardin, alors même qu'elles ne s'y plaisent pas tant que ça et que je dois les renouveler régulièrement.
Le Corylopsis pauciflora a bien supporté son déménagement et sa nouvelle situation en hauteur sur le mur de la cour me permet de mieux admirer sa délicate et pâle floraison. Un jaune bien délicat en ces temps de jonquilles pétantes!
Et les voici, ces joyeuses cloches de Pâques, dans une potée devant l'Heuchère Purple Wine qui a égayé l'entrée de la maison tout l'hiver.
Leurs congénères commencent à s'ouvrir ici et là dans le jardin et je pourrai bientôt vous les montrer dans toute leur diversité.
Pour parfaire cet accueil, le jardin a peaufiné cette hybridation hasardeuse d'une primevère de jardinerie et de la primevère officinale, qui fleurit chaque année et semble de resemer puisque cette année, j'en ai trois belles plantes!
J'ai repris les travaux de désherbage, de taille des rosiers, de gratouillage, d'engraissement, et je passe plus de temps dans les fleurs que sur les blogs! Heureusement que le jour a des heures plus chaudes qui m'imposent la pause...