Les iris jaunes ont tous fleuris en premier - au nord comme au sud! A croire que je n'ai que cette couleur ...
Les iris bruns, les iris bleus, les iris violets semblent dormir pour mieux permettre l'accord du jaune et des ancolies...
Sous le malus Evereste qui a été fortement taillé cette année, les grands iris jaunes d'Oléron se sont accaparés cette place et n'ont jamais été si florifères.
Et au nord, dans la douceur, les Iris pallida flavescens prennent le relais des leurs frères germains violets!
L'Anthriscus Raven's Wing est en fleurs... j'en fais des bouquets aériens pour la maison surtout pour éviter que la graine ne se perde dans mes massifs : il supporte très mal la transplantation avec sa grosse racine pivotante et il s'agit de récolter la semence juste avant qu'elle ne tombe. Cette année, j'en aurais à donner, si tout se passe bien...
Mon massif sud est ainsi tout différent et je crains pour mes semis d'annuelles qui doivent grandir par là-dessous... mais quelle toile de fond pour les iris Arpège!
A leur pied, le petit Iris Raspberry Blush s'est fait une place bien à lui, à mi-hauteur... J'ai une tendresse particulière pour sa forme un peu plate et son coloris si frais! Il a un peu de peine à s'installer, confronté aux nombres de plantes qui le phagocytent, mais il a l'air de pouvoir finalement s'en sortir face à la dure loi du jardin trop petit!
Les ancolies dansent sous la pluie ou dans les rayons du soleil, dans tout les massifs, comme il leur convient de s'installer... Parfois en violet, parfois en bleu, parfois en rose - et même en blanc cette année.
Les centaurées aussi ont le droit de s'installer où bon leur semble, et elles ne s'en privent pas! J'aime leur allure, leur couleur. Un fleur très Art nouveau...
A la mi-ombre, au coin de la terrasse, le Coeur de Marie s'est étalé, tout à son aise, sous les cascade de la Spirée Van Houttei. Une scène printanière qui se répète depuis de longues années...
Et en plein soleil, dans un endroit bien plus sec, le Géranium macrorrhizum Album donne la réplique à l'Euphorbe polychrome Bonfire.
Miss Bateman, après avoir boudé quelques années, s'est ravisée et depuis l'été passé elle fait fleurir une seconde fois le Magnolia stellata qu'elle colonise avec délicatesse...
Eventuellement Iris Rocket |
Sous le malus Evereste qui a été fortement taillé cette année, les grands iris jaunes d'Oléron se sont accaparés cette place et n'ont jamais été si florifères.
Et au nord, dans la douceur, les Iris pallida flavescens prennent le relais des leurs frères germains violets!
L'Anthriscus Raven's Wing est en fleurs... j'en fais des bouquets aériens pour la maison surtout pour éviter que la graine ne se perde dans mes massifs : il supporte très mal la transplantation avec sa grosse racine pivotante et il s'agit de récolter la semence juste avant qu'elle ne tombe. Cette année, j'en aurais à donner, si tout se passe bien...
Mon massif sud est ainsi tout différent et je crains pour mes semis d'annuelles qui doivent grandir par là-dessous... mais quelle toile de fond pour les iris Arpège!
A leur pied, le petit Iris Raspberry Blush s'est fait une place bien à lui, à mi-hauteur... J'ai une tendresse particulière pour sa forme un peu plate et son coloris si frais! Il a un peu de peine à s'installer, confronté aux nombres de plantes qui le phagocytent, mais il a l'air de pouvoir finalement s'en sortir face à la dure loi du jardin trop petit!
Les ancolies dansent sous la pluie ou dans les rayons du soleil, dans tout les massifs, comme il leur convient de s'installer... Parfois en violet, parfois en bleu, parfois en rose - et même en blanc cette année.
Les centaurées aussi ont le droit de s'installer où bon leur semble, et elles ne s'en privent pas! J'aime leur allure, leur couleur. Un fleur très Art nouveau...
A la mi-ombre, au coin de la terrasse, le Coeur de Marie s'est étalé, tout à son aise, sous les cascade de la Spirée Van Houttei. Une scène printanière qui se répète depuis de longues années...
Et en plein soleil, dans un endroit bien plus sec, le Géranium macrorrhizum Album donne la réplique à l'Euphorbe polychrome Bonfire.
Miss Bateman, après avoir boudé quelques années, s'est ravisée et depuis l'été passé elle fait fleurir une seconde fois le Magnolia stellata qu'elle colonise avec délicatesse...
(Pardon pour le phare de la voiture du voisin...) |
C'est un tour de jardin, que j'ai fait avant les grosses pluies et le froid de ces deux derniers jours... Étonnamment, les plantes ne semblent pas trop souffrir et mon inspection de ce matin me confirme que j'ai bien fait de tuteurer en prévision des vents annoncés...
Un dernier regard sur la cour nord, installée pour accueillir le soleil... Le rosier Léontine Gervais tient ses promesses de l'année passée et prépare une floraison homérique!