Pour fêter mon retour - quelle idée, les vacances en juin! - le jardin a sorti ses têtes roses.
Les pavots doubles - qui se resèment au gré de leur envie - ont attendu que je revienne. Je leur chuchote chaque année que leur jupon est celui que je préfère dans mon domaine!
En pastel ou en rose plus soutenu, ces chiffons me ravissent!
Ces pavots doubles étant assez rares, ce sont les roses roses qui me font la fête. La délicieuse Lilian Austin - plantée en 1991 - est en tête de mes préférées...
Mais son frère Abraham Darby n'est pas pour me déplaire non plus - surtout qu'il revit après le gel sur de nouvelles pousses. Il porte beau ses 23 ans lui aussi, alors que je l'avais cru moribond.
La plus jeune des trois, Evelyn, a cinq ans de moins - vous suivez? - et garde encore la tendresse de la jeunesse.
Le plus vieux de mes rosiers ne fait pas partie de cette prestigieuse famille des Austin. Il n'a pas de nom, il vagabonde, et cette année il a fleuri pendant un mois sans discontinuer. Je l'appelle le Rosier Oncle Georgy - je vous l'avais déjà présenté, je sais, mais cette année, il a donné sa pleine mesure de rosier ancien indétrônable!
Un petit dernier sur lequel je n'aurais pas parié un sou au mois de mai met une note plus vigoureuse dans la série des roses... Il s'agit de Burgundy Ice, faiblard de constitution, mais bien florifère.
Et pour terminer, un rosier thé acheté en 1991, qui fleurit assez différemment selon les années, le rosier Lolita.de Kordès, 1972 - à ne pas confondre avec Lolita Lempicka de Meilland - toujours entre orange et rose...
Des fleurs qui ont supporté sans broncher la canicule et la sécheresse pendant une bonne semaine! La ronde des déclinaisons du rose n'est pas terminée, mais ces vieux rosiers s'ils m'ont fait peur et s'ils ont fleuri tardivement se sont bien rattrapés!
Les pavots doubles - qui se resèment au gré de leur envie - ont attendu que je revienne. Je leur chuchote chaque année que leur jupon est celui que je préfère dans mon domaine!
En pastel ou en rose plus soutenu, ces chiffons me ravissent!
Ces pavots doubles étant assez rares, ce sont les roses roses qui me font la fête. La délicieuse Lilian Austin - plantée en 1991 - est en tête de mes préférées...
Mais son frère Abraham Darby n'est pas pour me déplaire non plus - surtout qu'il revit après le gel sur de nouvelles pousses. Il porte beau ses 23 ans lui aussi, alors que je l'avais cru moribond.
La plus jeune des trois, Evelyn, a cinq ans de moins - vous suivez? - et garde encore la tendresse de la jeunesse.
Le plus vieux de mes rosiers ne fait pas partie de cette prestigieuse famille des Austin. Il n'a pas de nom, il vagabonde, et cette année il a fleuri pendant un mois sans discontinuer. Je l'appelle le Rosier Oncle Georgy - je vous l'avais déjà présenté, je sais, mais cette année, il a donné sa pleine mesure de rosier ancien indétrônable!
Un petit dernier sur lequel je n'aurais pas parié un sou au mois de mai met une note plus vigoureuse dans la série des roses... Il s'agit de Burgundy Ice, faiblard de constitution, mais bien florifère.
Et pour terminer, un rosier thé acheté en 1991, qui fleurit assez différemment selon les années, le rosier Lolita.de Kordès, 1972 - à ne pas confondre avec Lolita Lempicka de Meilland - toujours entre orange et rose...
Des fleurs qui ont supporté sans broncher la canicule et la sécheresse pendant une bonne semaine! La ronde des déclinaisons du rose n'est pas terminée, mais ces vieux rosiers s'ils m'ont fait peur et s'ils ont fleuri tardivement se sont bien rattrapés!